Le maire a pris une décision trop rapidement et sans concertation. Résultat, la boulangère est à l’hôpital !

Aujourd’hui, il est dans l’impasse mais il lui suffit de mettre en application cette phrase :

« Ecouter, entendre et comprendre le désarroi de ses administrés. »

Le désarroi de la boulangère peut sembler pour certains excessif, mais leurs « gagne-pain » est entrain de péricliter.

Il en va de la rentabilité de leur commerce. Ce n’est pas une comédie et cela n’est pas risible car il en va de la réussite de leur métier pour lequel ils se sont beaucoup investis.

L’intransigeance du Maire par rapport au nouveau dispositif de stationnement n’est pas bonne.

La gestion du Maire par rapport à la grève de la faim de la boulangère n’est pas bonne.

Ce n’est pas du cynisme, on est dans l’humain.

Ce n’est pas le mépris, c’est le bon sens qui doit l’emporter.

M. le maire, merci de sortir par le haut de cette affaire en rétablissant immédiatement le stationnement sans épi.