L’institut de France s’oppose à
l’installation de l’usine au Mont de Pô

5 juillet 2010,
Une commission hippique de la CCAC, présidée par le maire de Lamorlaye Didier GARNIER s’est tenue afin de présenter, le projet de méthanisation.
Au cours de cette réunion, l’Institut de France au travers de son représentant, le général Millet, en charge du domaine de Chantilly a déclaré son opposition à l’implantation de l’usine de méthanisation au mont de Pô.

1400 pétitionnaires se sont manifestés ce printemps et ont obtenu gain de cause

Le 04 juillet le conseil de la communauté de communes de l’aire cantilienne a pris acte du retour au Mont de Pô à Chantilly, de l’usine de méthanisation envisagée à Lamorlaye.

Nous restons vigilants car cette implantation est subordonnée à la modification du PLU de Chantilly.

Reste le problème de l’existence du réseau de transport et distribution de chaleur dont la définition n’est pas communiquée.

Nous sommes opposés à sa réalisation sur le territoire de Lamorlaye s’il est finançable par nos impôts locaux et nous ne manquerons pas de vous consulter à ce sujet.

Derniers événements

05 juillet 2010 - L'institut de France s'oppose à l'installation de l'usine au Mont de Pô
Le 5 juillet 2010, une commission hippique s’est tenue à Chantilly afin de présenter aux membres de la CCAC, le projet de méthanisation.

Cette réunion présidée par le maire de Lamorlaye Didier GARNIER a été ajournée au moment où le site d’implantation était dévoilé.

En effet, au cours de cette réunion, l’Institut de France au travers de son représentant, le général Millet, en charge du domaine de Chantilly a déclaré son opposition à l’implantation de l’usine de méthanisation au mont de Pô.

04 juillet 2009 - Réunion de la CCAC - Retour au Mont de Pô
Le 04 juillet la CCAC sous la présidence de M. Eric Wœrth sonne la fin de la saga de la méthanisation cantilienne SAISON 1.

L’usine repart au mont de Pô sous le signe du retour à l’envoyeur, en application du principe pollueur payeur.

La pétition qualifiée de modalité un peu froide par M. le Président, est présentée comme la défense d’intérêts particuliers.

La nécessité de la modification du PLU est évoquée.

26 septembre 2009 - Audience Eric WOERTH
Le collectif représenté par deux de ses membres est reçu en audience par M. Eric Wœrth.
Edition spéciale Bulletin CCAC
Parution du bulletin édition spéciale de la CCAC portant sur la valorisation du fumier de cheval.

Page 1, l’élimination du fumier par le biais des champignonnistes est évoquée au passé. La recherche d’une autre solution est proposée.

Le Grenelle de l’environnement est le cadre de cette solution de valorisation du fumier.

Page 2 & 3, des éléments quantitatifs sont fournis notamment :

  • Production de courant électrique 8.000 MWh.
  • Production de chaleur sur réseau 10.000MWh.
  • La création d’une cinquantaine d’emplois.
  • Le méthane y est présenté comme une émanation naturelle s’échappant dans l’atmosphère suite à la fermentation du fumier.

Page 4 :

  • Richard Crépon rappèle que tout producteur est tenu responsable de l’élimination de ses déchets et que la CUMA a été crée dans ce but.
  • Christine Head fait état des difficultés dues aux fumiers et souhaite l’adhésion des habitants à la solution présentée qu’elle qualifie d’astucieuse.
  • Le Général Millet subordonne aux résultat des études préalables l’accueil de la station de valorisation.
21 octobre 2009 - Remise en question par le PNR
Patrice Marchand, président du P.N.R. explique que le bureau du P.N.R. n’est pas acquit à cette décision et que la charte du parc naturel n’est pas négociable.

Des éléments purement techniques doivent guider la décision : Bilan carbone, aspects paysagers et écologiques, réseau de chaleur.

31 octobre 2009 - Testament du Duc d'Aumale
Le Parisien édition Oise du 31 octobre évoque les obstacles suivants :

  • L’implantation se situe dans le P.N.R. qui n’est pas une zone industrielle rappelle Jean-Claude Bocquillon président de l’AP3F.
  • Par testament du Duc d’Aumale le lieu brigué doit rester à destination sylvicole et agricole. Jérôme Millet responsable du domaine de Chantilly au sein de l’Institut de France s’interroge sur la compatibilité d’une usine de méthanisation avec le respect de cette obligation. Il pose aussi la question du montage financier, de la pérennité de l’activité.
27 novembre 2009 - Le collectif sollicité par Bruno BATTISTINI
Le 27 novembre 2009 Bruno Battistini sollicite des informations auprès les deux membres du collectif reçus en audience par M. Eric Woerth, sollicitation faisant suite à cette audience.

NON A L’USINE DE METHANISATION A LAMORLAYE

Notre pétition est établie par des Morlacuméens soucieux de maintenir les caractéristiques de leur cadre de vie,
libres et de bonnes mœurs, également amis du riche et du pauvre, s’ils sont vertueux.

Est-il permis d'avoir une réflexion conduisant à un avis différent de celui de la mairie ?
Non d’après les propos tenus par la Mairie dans les colonnes du bulletin municipal.
OUI selon nous, dès lors qu’il s’agit de défendre l’intérêt général des Morlacuméens !
Une municipalité doit-elle faire la promotion d'un projet d'intérêt privé ?
NON, ce n’est pas son rôle. L’équipe municipale ne dispose pas des compétences nécessaires pour juger du bien fondé d’une usine de ce genre et devrait s’abstenir d’en faire la promotion auprès des personnels des services municipaux sous sa dépendance.
Quelles sont les dimensions de cette usine ?
  • Au moins 6 500 m2 d’emprise au sol (soit environ l’équivalent du terrain de l’actuelle station d’épuration).
  • Une tour de 28 mètres de haut et de 15 mètres de diamètre.
  • 3 moteurs thermiques.
  • 1 bulle de gaz méthane (pression 1 ou 2 kg).
  • 1 micro station dépuration pour les résidus du digestat.
  • 400 tonnes de graisses de restauration.
  • 6 000 tonnes de déchets verts non ligneux.
  • 250 000 m3 de fumier.
Quels sont les sites à Lamorlaye pressentis autre que la voie de la Grange des Près ou la Seigneurie ?
Aucun terrain de Lamorlaye n’est d’assez faible densité urbaine, c’est à dire suffisamment à l’écart des habitats pour ne pas troubler l’environnement paisible et résidentiel des riverains.
Quels sont les critères qui déterminent l'opportunité d'un tel projet pour la ville de Lamorlaye ?
  • Cogénération : elle repose sur le prix de reprise par EDF du courant électrique à environ 125€ le MWh soit 0,12 € le kWh. ce tarif date d’avant l’ouverture du capital d’EDF. Il est suspendu à un accord préalable qui n’aura peut-être pas lieu.
    Cette solution est exclue par le rapport Prévôt-Orselli, bible en matière de réseaux de chaleur à partir de biomasse.
  • Réseau chaleur : La création d’un réseau de chauffage urbain à Lamorlaye pour y alimenter en chauffage des bâtiments publics est une hérésie, toujours selon ce rapport incontournable que la CUMA semble ignorer superbement.
  • Emplois : Nous sommes convaincus que le nombre d’emplois avancé par la Mairie est un leurre. Aujourd’hui on emploie 10 personnes pour couvrir 1 million de kms. Ces emplois seront supprimés au profit de la création d’une usine automatique qui emploiera 7 à 8 personnes maximum.
    Rappelons que la taxe professionnelle est condamnée à disparaitre et qu’elle ne rapportera donc pas l’hypothétique bénéfice escompté !
  • Vitrine : Il ne s’agit pas de transformer un quartier de Lamorlaye en cabinet de curiosité à l’attention d’hypothétiques visiteurs.

Si le projet était si performant, comment Chantilly à laissé passer une telle aubaine au profit de Lamorlaye ?

Quel gaspillage d'argent allons-nous éviter en nous opposant à ce projet ?
  • L’investissement du réseau de chaleur financé par les impôts locaux.
  • La construction de la centrale de méthanisation financée par des subventions donc par nos impôts.
  • La dévaluation des patrimoines familiaux des riverains immédiats, proches ou sous le vent d’Ouest.
  • Des accidents probables dus à la proximité de la piste cyclable ou l’abandon factuelle de celle ci.
  • L’usure intensive des chaussées par les camions pour les 250 000 m3 /an soit, 1 000 m3 / jour ouvré.
  • Les surcouts d’assurances dus aux accidents précédents dans ce genre d’activité.
  • Les pertes de chiffres d’affaires des commerces situés près de la centrale de méthanisation.
Pourquoi le vocable USINE, parfaitement approprié, est-il soigneusement évité ?
Peut-être pour masquer les nuisances de cette usine.
Quel est le rendement du méthaniseur seul ?
Nous l’estimons à 93%. Les 7% de pertes correspondent à son maintien à la température de fermentation.
Quel est le rendement global de l'usine de méthanisation ?
Il est de 70%. Soit 30% de pertes à comparer avec d’autres solutions.
Ce qui fait plus de fumée que les camions de transport du fumier.
Quelle quantité de chaleur ira sur le réseau ?
Nous estimons à 3000 MWh, soit 150 000 € / an.
Montant insufisant pour amortir le réseau sur la durée d’une génération sans faire appel aux impôts et taxes locaux.
La référence à l’Allemagne pour justifier de la technique cogénération n’est-elle pas abusive ?
L’électricité en Allemagne est produite avec émissions de CO2 importantes et variables, allant selon les compagnies, de 2,75 T de CO2/MWh pour Bewag, à 0,60 pour EnBW, en passant par 1,1 pour Eon et 1,8 pour RWE, tandis que la France produit le MWh à moins de 0,15 MWh pour EDF. Soit de 4 à 15 fois plus !
Qui sont les acteurs du projet ?
Mr Didier GARNIER se targue d’être à l’origine de ce projet tantôt en tant que fonctionnaire au ministère de l’Agriculture, tantôt en tant que Maire.
Mr Richard CREPON résidant de Coye la forêt qui cumule sa fonction d’élu municipal de Lamorlaye avec la présidence de la CUMA Pays Sud Oise.
Mr Bruno BATTISTINI Morlacuméen depuis peu à Lamorlaye promoteur du projet à la fois en tant que directeur de cabinet du Maire et consultant de la CUMA.

Personne ne nous fera croire que la CUMA est seule détentrice de la décision.

Quelles sont les nuisances cachées de cette usine ?
  • Visuelle : avec une tour de 28 mètres de haut sur 15 mètres de diamètre, elle représente la hauteur d’un immeuble de 10 étages et dépassera de loin le clocher de notre église. Etonnant quand la municipalité veut arrêter la construction d’immeubles.
  • Trafic routier : au moins 60 rotations de camions par jour concentrés sur Lamorlaye, soit environ 1 camion toutes les 10 minutes. Autant d’effets induits indésirables comme la pollution, le bruit et les problèmes de sécurité.
  • Bruits : déchargement des déchets, enlèvement du digestat, bruit des moteurs à explosions, circulation des camions, …
  • Odeurs : Le processus de méthanisation produit du gaz H2S mieux connu sous le nom d’œuf pourri.

Cette liste de nuisances n’est pas exhaustive car comme tout projet novateur, il comporte des mauvaises surprises.

Par quel moyen, la CUMA peut-elle jeter son dévolu sur un terrain municipal ou privé ?
Ceci reste une question ouverte.
Quelle est la position des professionnels du monde hippique de Lamorlaye ?
La réponse est simple, les professionnels ont déjà manifestés leurs oppositions au travers d’une pétition remise au Maire lors du conseil municipal du mois de mars en présence de la presse locale. A cette occasion, le Maire s’est engagé à ne pas construire l’usine dans la zone hippique.
Etonnant que la Municipalité est oubliée cette promesse ainsi que la position des entraineurs (voir article du Parisien)
Est-il pertinent de comparer le projet commun de la CUMA & de la Mairie à la situation en Allemagne ?
L’Allemagne utilise du charbon local comme principale source d’énergie, elle en tire chaleur et l’électricité. La production d’électricité par cogénération de chaleur et d’électricité se justifie en Allemagne pour ces raisons.
Dans ce pays il est judicieux de remplacer la production d’électricité charbon par de la biomasse renouvelable. Dans ce cas le gain écologique est certain car la combustion du charbon produit beaucoup de Gaz à Effet de Serre.(GES)

L’électricité en France est principalement nucléaire et hydraulique, viennent en secours gaz, fuel et charbon.
Produire de l’électricité combinée à de la chaleur avec un rendement d’au plus 85 % veut dire 15 % de pertes.
Le gain écologique de l’énergie est nul s’agissant de remplacer du gaz de ville et de l’électricité sans GES.
Le gain écologique prétendu sur la pollution du fumier est à comparé à la situation actuelle.

Que fait-on du fumier aujourd’hui ?
A l’état de nature le fumier ne se transforme pas en méthane. Prétendre que tant de tonnes de fumier équivaillent à tant de m3 de méthane est un mensonge. Tant de tonnes de fumier peuvent se transformer en tant de m3 de méthane, ce qui est différent.

Pour cette transformation il faut une usine qui permette l’élaboration d’un processus industriel dans lequel :
L’état anhydre, l’état anaérobie, puis des stades thermiques à une température puis une autre plus élevée. Autant de conditions, non exhaustives pour produire le méthane brûlé au plus à 85% soit 15 % de pertes.

Non les conditions ne se comparent pas, les contextes sont radicalement différents. De plus, les implantations sont loin des habitations.

Le bilan carbone de l'actuel compostage du fumier existe t'il ?
Le bilan carbone de la cogénération proposée existe t’il ?
Les bilans carbone de procédés alternatifs existent t’ils ?

La comparaison de ces bilans serait un bon outil d’évaluation de la valeur écologique de chacun des projets.

Quel est le rendement des moteurs électrogènes ?
Nous l’estimons à 75%. Les 25% restant correspondent à des pertes par frottements, chaleur et transformations.
Que viennent faire les apports de déchets vert venant de LOISELEUR et les graisses de restauration ?
Le seul fumier équin ne permet pas la faisabilité de l’usine. D’où des apports non agricoles et d’autres hors C.C.A.C.
Ce réseau de chaleur répond-il aux critères de densité thermique de l'ADEME ?
Avec 3 kilomètre pour 3000 MWh, la réponse est NON.
Le traitement des fumiers de cheval de la région est-il un problème d’intérêts privés comme la CUMA en atteste ou s’agit-il d’une affaire municipale ?
Les propriétaires de chevaux ne doivent-ils pas, comme tous citoyens assumer leurs déchets ?

Sources

Rapport Prévot – Orselli
Article du Parisien – La méthanisation déjà contesté
Edition spéciale du bulletin de la C.C.A.C.
Le document CUMA Sud Oise de janvier 2009
Les sites ADEME et MANICORE

Les photos du projet d’usine de méthanisation

extrait du dossier de la CUMA

l

Presse

20 mai 2009 – Courrier Picard : Ils mettent leur ville à vendre sur eBay
20 mai 2009 – Le Parisien : Les anti-fumier de cheval vendent la ville sur eBay
20 mai 2009 – Libération : Une ville en vente sur eBay pour fuir le fumier
20 mai 2009 – Le JDD – Une ville en vente sur ebay
20 mai 2009 –  HuffPost : Une ville de l’oise en vente sur ebay
21 mai 2009 – Courrier Picard : La ville est retirée de la vente sur eBay
27 mai 2009 – Le Parisien : Le maire porte plainte contre le mystérieux collectif
6 juin 2009 – Le Parisien : Le mystérieux collectif récidive
17 juin 2009 – Le Parisien : Déjà 1 000 signatures contre l’usine de méthanisation
3 juillet 2009 – Le Parisien : L’usine de méthanisation revient au Mont-de-Pô
14 septembre 2009  – Le Parisien : L’usine de « fumier de cheval » attendue pour 2011
21 octobre 2009 – Le Parisien : Que penserait le duc d’Aumale de la valorisation du fumier 

Radio

20 mai 2009 – RTL : Lamorlaye, une ville de l’Oise à vendre sur Ebay (1:14)
26 mai 2009 – France Info : L’émission n’est plus en ligne

Télévision

20 mai 2009 – France 3 : 19/20

Tous les liens sur l’explosion de l’usine en Allemagne

3 jours après sa mise en service !!

Explosion d’une installation de biogaz

Une installation de biogaz située à Daugendorf a été détruite, le 16 décembre dernier, par l’explosion de son digesteur. Cette installation venait d’être mise en service trois jours auparavant et était composée d’un digesteur de 20m de haut et 17m de diamètre.

Personne n’a heureusement été blessé. Les dégâts matériels sont par contre importants : la biomasse a été projetée jusqu’à une distance de 200m et les bâtiments construits à côté du digesteur ont été sérieusement endommagés. Le montant des dégâts n’a pas encore été définitivement évalué.

La cause de l’explosion n’est pas, à première vue, due à la production de biogaz, mais plutôt à une erreur de dimensionnement statique lors de la construction de l’installation.

Bade-Wurtemberg, Une centrale au biogaz explose

Une installation de biogaz située à Daugendorf a été détruite, le 16 décembre dernier, par l’explosion de son digesteur. Cette installation venait d’être mise en service trois jours auparavant et était composée d’un digesteur de 20m de haut et 17m de diamètre.

Personne n’a heureusement été blessé. Les dégâts matériels sont par contre importants : la biomasse a été projetée jusqu’à une distance de 200m et les bâtiments construits à côté du digesteur ont été sérieusement endommagés. Le montant des dégâts n’a pas encore été définitivement évalué.

La cause de l’explosion n’est pas, à première vue, due à la production de biogaz, mais plutôt à une erreur de dimensionnement statique lors de la construction de l’installation.

Quatre morts à Rhadereistedt (Allemagne), le 5 novembre 2005

Dans un site de production de biogaz par valorisation de déchets organiques, une émanation de sulfure d’hydrogène (H2S) tue 3 employés et un conducteur de camion venu décharger des déchets issus d’un abattoir.

Une personne sérieusement intoxiquée est hospitalisée. La concentration extrêmement élevée en H2S dans le hall complique l’intervention des pompiers dont une dizaine souffrira d’intoxication plus ou moins légère. Une longue aération (plus de 24 h) sera nécessaire avant d’autoriser l’accès au bâtiment.

Arrivé le soir, le camion en provenance des Pays-Bas stationne devant l’établissement jusqu’au lendemain matin. Le drame se produit alors que le chargement du camion est déchargé à l’intérieur d’un hall fermé pour limiter les nuisances olfactives, dans une fosse de 100 m³ équipée de 2 agitateurs et dont le couvercle ne peut être fermé en raison de la défaillance du moteur électrique qui l’actionne.

Explosion dans une usine de méthanisation en Allemagne. Ce lien est la traduction automatique d’un article datant du 19/12/2007 que vous trouverez dans la rubrique PRESSE sur le site de la société Allemande www.fachverband-biogas.de que nous pensons être la référence municipale.

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